Élections du Sporting Clube de Portugal : Jour J
Je suis content qu'on arrive à la fin ! La cacophonie des 2 derniers débats à fini par ternir la campagne électorale.
Tout à commencé le samedi 5 mars avec le premier débat sur la chaîne d'informations SIC Notícias, le dernier jeudi sur sa concurrente, la TVI 24 - celui de trop à mon avis - à surtout servi à semer le doute dans l'esprit des sócios. Entre les deux, la publique RTPN et la sportive Sport TV1 ont aussi été contemplées avec la présence des présidentiables Sportinguistas, 3 semaines de dissertations sur les grandes chaînes nationales, de quoi remplir le vide sportif des supporters et faire voir au pays que le Sporting est énorme malgré la crise, celle du club certes, mais aussi et surtout celle du pays tout entier.
Tout à commencé le samedi 5 mars avec le premier débat sur la chaîne d'informations SIC Notícias, le dernier jeudi sur sa concurrente, la TVI 24 - celui de trop à mon avis - à surtout servi à semer le doute dans l'esprit des sócios. Entre les deux, la publique RTPN et la sportive Sport TV1 ont aussi été contemplées avec la présence des présidentiables Sportinguistas, 3 semaines de dissertations sur les grandes chaînes nationales, de quoi remplir le vide sportif des supporters et faire voir au pays que le Sporting est énorme malgré la crise, celle du club certes, mais aussi et surtout celle du pays tout entier.
Pour moi l'énigme primaire subsiste : Alors que le Sporting est dans une crise financière et sportive sans précédents, 6, puis 5 candidats, s'entredéchirent pour le pouvoir au royaume du Lion. Nous sommes réellement différents ! Voici le signe d'une grande vitalité et la preuve d'une passion éternelle.
Dans la nuit de samedi et dimanche, la nuit même où on passe à l'heure d'été (est-ce un signe du destin ?) l'un d'entre eux sera élu - et quel qu'il soit - je lui demande simplement d'utiliser toute la dynamique des vaincus pour sortir «notre club à tous» du gouffre où on l'a plongé depuis plus d'une décennie. Que nous puissions de nouveau vibrer tous ensemble avec les victoires et les titres que nous devons - que nous allons - ramener à Alvalade.
Dans la nuit de samedi et dimanche, la nuit même où on passe à l'heure d'été (est-ce un signe du destin ?) l'un d'entre eux sera élu - et quel qu'il soit - je lui demande simplement d'utiliser toute la dynamique des vaincus pour sortir «notre club à tous» du gouffre où on l'a plongé depuis plus d'une décennie. Que nous puissions de nouveau vibrer tous ensemble avec les victoires et les titres que nous devons - que nous allons - ramener à Alvalade.
J'ai un faible pour Bruno de Carvalho, il représente la rupture totale avec le passé des notables, du pouvoir intéressé et sans partage, qui nous a entrainés vers le bas. Quelques doutes sur le "Fonds d'Investissement" Russe et les malheureuses déclarations d'Eduardo Barroso n'ont pas changé mon point de vue. J’apprécie beaucoup le franc parler d'Abrantes Mendes, mais je le vois mal président car il est trop "vrai" et ses chances d'être élu assez minces. Il a bien fait de se présenter car sa présence lors des débats à relevé le niveau. Pedro Baltazar, malgré ses indiscutables qualités d'homme d'affaires, est mal à l'aise dans la peau d'un leader d'un club omnisports. J'avoue que la présence de Santana Lopes à ses côtés et la mise en cause de l’existence du Futsal au sein du Sporting m'ont refroidi dès le départ. Dias Ferreira, le plus connu de tous, n'a jamais réussi à me convaincre, je le considère trop volage, même si lors des deux derniers débats il à été plus à son avantage. Je garde pour la fin le meilleur du pire. Godinho Lopes, malgré la présence à ses côtés de gens que j'aime bien, (Manuel Fernandes entre autres) n'a jamais réussi à me faire changer d'avis. Pour moi il est le candidat de la continuité, et ça je n'en veux pas. Domingos non plus d'ailleurs. Par contre je crains qu'avec les votes des anciens sócios la place ne lui soit offerte. Malgré le matraquage médiatique, les promesses de joueurs, les embrouilles relationnelles fratricides, les zones d'ombre, mon avis n'a pas changé ! Que le meilleur gagne et qu'il nous donne son meilleur !
Les bureaux de vote ouvrent à 11 h et ferment à 21 h (fr) et de ses 5 hommes, classés par ordre alphabétique, sortira le futur président du Sporting Clube de Portugal :
Abrantes Mendes (57 ans, juge), Bruno de Carvalho (39 ans, chef d'entreprise), Dias Ferreira (63 ans, avocat), Godinho Lopes (58 ans, ingénieur), Pedro Baltazar (51 ans, chef d'entreprise).
VIVA O SPORTING !
2 commentaires:
Ola coeur de lion!!!tudo bem?
Hoje e dia!!!Chaque candidat à une qualité qui ressort mais il y aura qu'un seul gagnant...alors socios choisissaient bien,tout repose sur vous...
FORCA SPORTING
Olá Leonino, tudo bem, e tu?
Je suis persuadé que les sócios vont bien choisir. De toute façon on aura un président Sportinguista ! LOL ! dans lequel nous déposons beaucoup d'espoirs.
VIVA O SPORTING
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