Le Sporting reçu à la Mairie de Lisbonne... Président Attaque
L'équipe principale de
football du Sporting Clube de Portugal a été reçue hier par le
maire de Lisbonne, Fernando Medina, lors d'une cérémonie qui a
servi, à rendre hommage au Champion National - natif de la capitale Lusitanienne - avec un nombre limité de personnes en raison des précautions
sanitaires.
Dans son discours au conseil
municipal de Lisbonne, le président Frederico Varandas a appelé à
l'union de l'Univers Sportinguista et a inclus dans une longue
liste, les clubs de supporters organisé Juventude Leonina et Diretivo
Ultras XXI, faisant allusion à une «trêve» plus ou moins assumée
par les parties concernées.
Contrairement a ses
habitudes, le président du Sporting, à lancé des pavés dans
la mare, envoyant quelques «coups de griffes» aux rivaux, FC Porto
et SL Benfica.
«Mes premiers mots vont à
nos rivaux : ils ont été durs sur le terrain, des adversaires
difficiles, ils y ont cru jusqu'au bout et grâce à eux nous avons
réussi à nous dépasser, battant des records après des records.
Pour eux, un grand merci», a commencé par souligner, Frederico
Varandas, poursuivant : «Toujours en parlant d'eux, ce serait une
injustice de confondre deux grandes institutions par les personnes
qui les représentent. Chaque rival, chaque club a sa stratégie de
communication légitime.
Pour les uns, ils n'ont pas
gagné parce qu'ils ont été le seul club au monde à avoir la
Covid-19, pour les autres c'est parce qu'ils n'ont bénéficié que
de 16 penaltys. Mais ils savent, tout le monde sait, que le Sporting a
été le club le plus compétent. On a gagné et célébré».
Dans son long discours à la
mairie, à Lisbonne, Frederico Varandas a lancé une attaque - sans
le nommer - visant Pinto da Costa, son homologue du FC Porto, après
les critiques de ce dernier aux festivités des Sportinguistas dans
la capitale, rappelant les épisodes des écoutes téléphoniques.
«J'ai entendu dire que ça
avait été un spectacle dégradant à Lisbonne. Je ne suis pas
d'accord. Il y a eu des excès, oui, telle était la dimension des
sentiments et de l'événement, mais dégradant, pour moi et le club
que je préside, c'est voir d'autres impliqués dans l'écoute,
l'écoute de leur propre voix dans les écoutes téléphoniques de la
corruption. C'est ce qui, pour nous, est dégradant», a conclut le
président du Sporting CP.
NDLR : Sacré
président, un médecin militaire qui sort de sa reverse. Pourvu que
sa dure ! Il n'a plus qu'a réintégrer BdC à sa future
candidature et le tour est joué !
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