vendredi 21 mai 2021

Le Sporting reçu à la Mairie de Lisbonne... Président Attaque

L'équipe principale de football du Sporting Clube de Portugal a été reçue hier par le maire de Lisbonne, Fernando Medina, lors d'une cérémonie qui a servi, à rendre hommage au Champion National - natif de la capitale Lusitanienne - avec un nombre limité de personnes en raison des précautions sanitaires.
Dans son discours au conseil municipal de Lisbonne, le président Frederico Varandas a appelé à l'union de l'Univers Sportinguista et a inclus dans une longue liste, les clubs de supporters organisé Juventude Leonina et Diretivo Ultras XXI, faisant allusion à une «trêve» plus ou moins assumée par les parties concernées.
Contrairement a ses habitudes, le président du Sporting, à lancé des pavés dans la mare, envoyant quelques «coups de griffes» aux rivaux, FC Porto et SL Benfica.
 
Fernando Medina et Frederico Varandas.
 
«Mes premiers mots vont à nos rivaux : ils ont été durs sur le terrain, des adversaires difficiles, ils y ont cru jusqu'au bout et grâce à eux nous avons réussi à nous dépasser, battant des records après des records. Pour eux, un grand merci», a commencé par souligner, Frederico Varandas, poursuivant : «Toujours en parlant d'eux, ce serait une injustice de confondre deux grandes institutions par les personnes qui les représentent. Chaque rival, chaque club a sa stratégie de communication légitime.
Pour les uns, ils n'ont pas gagné parce qu'ils ont été le seul club au monde à avoir la Covid-19, pour les autres c'est parce qu'ils n'ont bénéficié que de 16 penaltys. Mais ils savent, tout le monde sait, que le Sporting a été le club le plus compétent. On a gagné et célébré».
 
Dans son long discours à la mairie, à Lisbonne, Frederico Varandas a lancé une attaque - sans le nommer - visant Pinto da Costa, son homologue du FC Porto, après les critiques de ce dernier aux festivités des Sportinguistas dans la capitale, rappelant les épisodes des écoutes téléphoniques.
«J'ai entendu dire que ça avait été un spectacle dégradant à Lisbonne. Je ne suis pas d'accord. Il y a eu des excès, oui, telle était la dimension des sentiments et de l'événement, mais dégradant, pour moi et le club que je préside, c'est voir d'autres impliqués dans l'écoute, l'écoute de leur propre voix dans les écoutes téléphoniques de la corruption. C'est ce qui, pour nous, est dégradant», a conclut le président du Sporting CP.
 
NDLR : Sacré président, un médecin militaire qui sort de sa reverse. Pourvu que sa dure ! Il n'a plus qu'a réintégrer BdC à sa future candidature et le tour est joué !

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