Le président Frederico Varandas, atteint par le virus de la révolte
A l'issue de la demi-finale
de la Coupe de la Ligue - victoire 2-1 sur le FC Porto - le président
du Sporting Clube de Portugal - Frederico Varandas, s'est
exceptionnellement rendu dans la salle de presse du stade de Leiria
et a fait une déclaration aux journalistes présents.
Comme médecin et militaire,
il s'est senti sans doute plus concerné, par des expositions virales
qui contaminent le sport et la société portugaise. Passant sur les
détails cliniques, d'une situation caricaturale des guérillas
d'avant match, les propos du président masqué, démasquent dans
l'absolu, une pandémie anti-Sporting contre laquelle un vaccin n'est
pas à l'étude. Voici un bref extrait - en écriture médicale -
mais qui peut s'élargir a toutes les catégories sociétales :
«.... Au
milieu de tout cela, il n'y a qu'un détail que je ne tolère ni
n'admets. On peut dire que le Sporting joue mal ou qu'il joue peu,
mais il y a une chose que je n'admets pas : mettre en péril
l'honnêteté du personnel clinique et des médecins qui travaillent
pour le club. Nous allons déposer une plainte auprès de l'Ordre des
médecins du directeur clinique du laboratoire, qui, malheureusement,
j'ai lu cela, a dit qu'il n'y avait pas de problème et qu'il n'avait
même pas été contacté... Je le répète, je ne négocie pas de
valeurs, qu’il s’agisse de présidents, de collègues, de qui que
ce soit.... je vais quitter ce monde pathétique de Covid, car dans
quelques heures je vais entrer en fonctions pendant 24 heures, pour
traiter de vrais patients de la Covid », a-t-il conclu.
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