mercredi 20 janvier 2021

Le président Frederico Varandas, atteint par le virus de la révolte

A l'issue de la demi-finale de la Coupe de la Ligue - victoire 2-1 sur le FC Porto - le président du Sporting Clube de Portugal - Frederico Varandas, s'est exceptionnellement rendu dans la salle de presse du stade de Leiria et a fait une déclaration aux journalistes présents.
Comme médecin et militaire, il s'est senti sans doute plus concerné, par des expositions virales qui contaminent le sport et la société portugaise. Passant sur les détails cliniques, d'une situation caricaturale des guérillas d'avant match, les propos du président masqué, démasquent dans l'absolu, une pandémie anti-Sporting contre laquelle un vaccin n'est pas à l'étude. Voici un bref extrait - en écriture médicale - mais qui peut s'élargir a toutes les catégories sociétales  :
«.... Au milieu de tout cela, il n'y a qu'un détail que je ne tolère ni n'admets. On peut dire que le Sporting joue mal ou qu'il joue peu, mais il y a une chose que je n'admets pas : mettre en péril l'honnêteté du personnel clinique et des médecins qui travaillent pour le club. Nous allons déposer une plainte auprès de l'Ordre des médecins du directeur clinique du laboratoire, qui, malheureusement, j'ai lu cela, a dit qu'il n'y avait pas de problème et qu'il n'avait même pas été contacté... Je le répète, je ne négocie pas de valeurs, qu’il s’agisse de présidents, de collègues, de qui que ce soit.... je vais quitter ce monde pathétique de Covid, car dans quelques heures je vais entrer en fonctions pendant 24 heures, pour traiter de vrais patients de la Covid », a-t-il conclu.

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