Et si la justice donnait raison à Bruno de Carvalho ?
Après
une journée de vendredi, bien agitée au royaume du Lion, avec Bruno de
Carvalho garantissant qui est bel et bien le président du Sporting
CP et de la SAD (Société Anonyme Sportive), et ensuite le Comité de
Gestion, en la personne de Artur Torres Pereira, de dire le
contraire, Jaime Marta Soares, président de l'Assemblée Générale,
a expliqué hier soir, sur la chaîne portugaise TVI 24, ce que selon
lui, était venu faire Bruno de Carbalho à Alvalade :
« L’injonction
envoyé par le Tribunal de Lisbonne le 1er août, a ordonné la
suspension de l’Assemblée Générale du 23 juin qui vu la
destitution de Bruno de Carvalho comme président, et la justice à
ordonné au Sporting d'être entendu pour préparer sa défense, le
délai étant fixé au 21 août pour présenter les faits
contradictoires. Nous examinons maintenant les questions soulevées
par Bruno de Carvalho, qui ne seront pas difficiles à contrer.
Le
fait-divers d’aujourd’hui n’avait pour but que d’apporter à
Alvalade l'instabilité, rien de plus, le document judiciaire n’était
rien d’autre que le registre du conservatoire des mesures de
précaution qu’il avait prises. Ce n'est pas une décision.
Même si
la mesure de précaution demandée par Bruno de Carvalho est validée
par le Tribunal, cela n’empêche pas sa suspension de sócio
pendant 1 an », a-t-il déclaré.
Toujours
dans la soirée d'hier - dans un déclaration à la presse - l'avocat
Alexandre Godinho, ex-vice président sous le mandat de Bruno de
Carvalho, affirme que celui-ci est officiellement et légalement
président du Sporting CP et souligne que l’Assemblée Générale
de la destitution est « congelée » par la justice.
A
suivre !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire