Mondial 2010, Portugal 0-0 Suède, le vent glacé du nord
Le Danemark avait donné le ton au mois de septembre 2008. Dominés, voir même ridiculisés au stade José Alvalade ils avaient réussi à surprendre le Portugal en marquant 3 buts sortis tout droit des glaciers nordiques.
Froids, calculateurs, métronomes les piètres footballeurs Suédois ne sont pas responsables du manque d’efficacité lusitanienne et malgré l’absence de leur talentueux meneur de jeu Ibrahimovic ils ont su préserver un glacial 0-0. Même le Stade du Dragon n’a pas craché des flammes pour accueillir la Selecção dans le Nord du Portugal, il n’était pas plein, portant la région est friande en nationalisme. 9 points perdus en 6 matchs contre des équipes bas de gamme, les demi-finalistes du dernier Mondial ne se montrent pas dignes de leur rang.
En 1488 débute l'histoire européenne de l'Afrique du Sud quand le navigateur portugais Bartolomeu Dias atteint le cap des Tempêtes (cap de Bonne-Espérance) dans de frêles caravelles, en 2010 ses descendants vont avoir beaucoup plus de mal pour atteindre le même cap en avion, même confortablement installés.
La Bonne-Espérance est tout ce qui reste pour que les copains du capitaine Cristiano Ronaldo, encore une fois décevant avec le maillot de l’équipe nationale, puissent espérer se qualifier. Quant à l’inventif mais inefficace entraîneur Carlos Queiroz, né au Mozambique - si près de l’Afrique du Sud - il aura du mal à apercevoir son pays natal par le biais de la Selecção.
Froids, calculateurs, métronomes les piètres footballeurs Suédois ne sont pas responsables du manque d’efficacité lusitanienne et malgré l’absence de leur talentueux meneur de jeu Ibrahimovic ils ont su préserver un glacial 0-0. Même le Stade du Dragon n’a pas craché des flammes pour accueillir la Selecção dans le Nord du Portugal, il n’était pas plein, portant la région est friande en nationalisme. 9 points perdus en 6 matchs contre des équipes bas de gamme, les demi-finalistes du dernier Mondial ne se montrent pas dignes de leur rang.
En 1488 débute l'histoire européenne de l'Afrique du Sud quand le navigateur portugais Bartolomeu Dias atteint le cap des Tempêtes (cap de Bonne-Espérance) dans de frêles caravelles, en 2010 ses descendants vont avoir beaucoup plus de mal pour atteindre le même cap en avion, même confortablement installés.
La Bonne-Espérance est tout ce qui reste pour que les copains du capitaine Cristiano Ronaldo, encore une fois décevant avec le maillot de l’équipe nationale, puissent espérer se qualifier. Quant à l’inventif mais inefficace entraîneur Carlos Queiroz, né au Mozambique - si près de l’Afrique du Sud - il aura du mal à apercevoir son pays natal par le biais de la Selecção.
Comme d’habitude les spécialistes vont sortir leurs calculettes, et les supporters angoisser jusqu’à la fin, priant aux Dieux du Stade de sauver leur honneur.
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