Guerre ouverte sur le périphérique de Lisbonne.
Enfin un semblant de riposte de la part des responsables du Sporting et des supporters.
La finale volée en Coupe de la Ligue n’est qu’une pierre de plus dans l’édifice des escroqueries et de résultats adultérés qui pendant ces dernières décennies ont coûté cher au Sporting Clube de Portugal (et à d’autres).
Les successives incitations à la violence par des comportements discriminatoires qui continuent de léser gravement le club, font que l’actuel climat sportif portugais s’est transformé en une véritable guerre des mots... pour l’instant ! Ajoutées à celles de l’arbitre Lucílio Baptista, les déclarations du juge de touche, Pais António, qui à participé activement à la validation du penalty imaginaire, c’est la goûte d’eau qui fait déborder le vase.
Le guerre à été définitivement déclarée hier par le porte parole des oiseaux de rapine, João Gabriel, qui n’a d’un ange que le nom. Ce triste individu accuse le Sporting de vouloir faire pression sur les arbitres pour finir à la deuxième place. Le Président des Lions attend la position du Président de Benfica, Luís Felipe Vieira, afin de prendre position, car le fair-play est un état d’âme qui se fait rare chez les lampions.
Dans un premier temps le Sporting va abandonner la Présidence de la Liga, et même si comme à son habitude la presse portugaise ajoute de l’huile sur le feu, il faut espérer que l’incendie ne s’éteigne pas de sitôt et que les incendiaires y brûlent leurs ailes une bonne fois pour toutes. Les arbitres ne sont que la partie visible de la pieuvre à plumes que pourrit le sport portugais.
La citation du jour :
“Ce pèlerin espagnol, tout glorieux d’avoir visité plus de reliques qu’aucun de ses pareils.”
Jean le Rond d’ Alembert
La finale volée en Coupe de la Ligue n’est qu’une pierre de plus dans l’édifice des escroqueries et de résultats adultérés qui pendant ces dernières décennies ont coûté cher au Sporting Clube de Portugal (et à d’autres).
Les successives incitations à la violence par des comportements discriminatoires qui continuent de léser gravement le club, font que l’actuel climat sportif portugais s’est transformé en une véritable guerre des mots... pour l’instant ! Ajoutées à celles de l’arbitre Lucílio Baptista, les déclarations du juge de touche, Pais António, qui à participé activement à la validation du penalty imaginaire, c’est la goûte d’eau qui fait déborder le vase.
Le guerre à été définitivement déclarée hier par le porte parole des oiseaux de rapine, João Gabriel, qui n’a d’un ange que le nom. Ce triste individu accuse le Sporting de vouloir faire pression sur les arbitres pour finir à la deuxième place. Le Président des Lions attend la position du Président de Benfica, Luís Felipe Vieira, afin de prendre position, car le fair-play est un état d’âme qui se fait rare chez les lampions.
Dans un premier temps le Sporting va abandonner la Présidence de la Liga, et même si comme à son habitude la presse portugaise ajoute de l’huile sur le feu, il faut espérer que l’incendie ne s’éteigne pas de sitôt et que les incendiaires y brûlent leurs ailes une bonne fois pour toutes. Les arbitres ne sont que la partie visible de la pieuvre à plumes que pourrit le sport portugais.
La citation du jour :
“Ce pèlerin espagnol, tout glorieux d’avoir visité plus de reliques qu’aucun de ses pareils.”
Jean le Rond d’ Alembert
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