Madjer, enlève le sable des pieds
João
Víctor Saraiva - dit Madjer - 43 ans, né à Luanda en Angola,
considéré comme l'un des meilleurs joueurs du monde de
Football de Plage, avec l'un des palmarès individuel les plus
fournis de l'histoire du Beach Soccer.
À 43 ans,
Madjer dit au revoir à une longue carrière dans le football de
plage, rempli de dizaines de titres et de victoires, tant en Seleção
du Portugal comme au Sporting Clube de Portugal.
L’abandon de
ce celui qui était considéré comme le meilleur joueur de tous les
temps par le magazine «France Football» en 2019 a été officialisé
dans une interview au «Jornal Sporting», qui a également rendu un
long hommage à l’ancien ex-joueur.
« Au Sporting, je ne
portais pas seulement le maillot, je portais aussi le cœur et, quand
c'est le cas, le goût des défaites et les victoires sont également
différentes », a commencé par dire João Víctor Saraiva au
journal . L'ailier a également expliqué ce qui l'a amené à
prendre la décision de mettre un terme à sa carrière. « En
plus de ne plus être physiquement à 100% pour accompagner les
« enfants », je me préparais déjà à finir et je
voulais finir avec un grand titre », a-t-il déclaré,
reconnaissant une certaine amertume « de ne pas avoir donné
plus de titres au Sporting ».
Pour finir, Madjer a laissé un appel à la nation Sportinguista : « Nous devons nous unir une fois pour toutes. Quand nous cesserons d'être nos plus grands ennemis, nous redeviendrons le Sporting que les Sportinguistas avaient l'habitude de voir ».
Pour finir, Madjer a laissé un appel à la nation Sportinguista : « Nous devons nous unir une fois pour toutes. Quand nous cesserons d'être nos plus grands ennemis, nous redeviendrons le Sporting que les Sportinguistas avaient l'habitude de voir ».
2 commentaires:
Grand joueur tant dans le jeu que dans les mots il a raison c’est pas en se faisant la guerre que le sporting ira mieux il faut que sa cesse et nous devons nous unir comme il a dit
Grand Homme, Grand Sportinguista, je fais miens ses propos "Quand nous cesserons d'être nos plus grands ennemis, nous redeviendrons le Sporting que les Sportinguistas avaient l'habitude de voir ».
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