Liga : SL Benfica 2-1 Sporting CP
11ème journée :
Le but de Viktor Gyökeres à la 45ème minute a bien traduit ce qui
s’était passé en première période, un Sporting qui a maîtrisé
son sujet, dominateur dans tous les compartiments du jeu, malgré que
les deux premières occasions de but ont été du coté des hôtes.
La physionomie de la
deuxième mi-temps a commencé sur un rythme similaire à la
première, mais l'expulsion précoce de Gonçalo Inácio (51è) a
changé la dynamique de la rencontre. Le Sporting a commencé à se
concentrer sur la cohésion défensive et la transition, tout en se
montrant dangereux, Benfica a pris les rênes de la rencontre, mais a
eu du mal à se créer des attaques organisée dans le dernier tiers
du terrain, se concentrant sur les centres hasardeux.
Le
Sporting a été meilleur pendant une grande partie du derby, a
résisté pendant plus de 30 minutes réduit à dix unités et a
encaissé deux buts dans les arrêts de jeu, João Neves (90è+4) et
Casper Tengstedt (90è+6) faisant de Benfica, qui a été inférieur
pendant une grande partie du match, s'en sortir avec les trois points
heureux.
Sporting CP : Antonio
Adán, Ricardo Esgaio, Ousmane Diomande, Sebastián Coates, Matheus
Reis (Nuno Santos, 73è), Morten Hjulmand, Hidemasa Morita (Paulinho,
85è), Marcus Edwards Jeremiah St. Juste, 57è), Pedro Gonçalves
(Francisco Trincão, 73è) et Viktor Gyökeres
Entraîneur :
Rúben Amorim
But : Viktor
Gyökeres (45è)
3 commentaires:
on a été meilleurs au global mais on perd betement...ca fout la rage
Que dire...
Quelle injustice !!!
On a si bien joué !
On peut être fiers de notre équipe qui n'a vraiment pas démérité.
Le foot est souvent injuste...
Rien n'est perdu, si les résultats deviennent plus justes on sortira vainqueurs.
Abraço de Leão.
Rageant, frustrant, énervant !!!
Malheureusement les deux buts à la con qu'on a pis dans les arrêts de jeu, confirment notre tendance des derniers matchs, encaisser des buts sortis de nul part. La seule différence, c'est que cette fois-ci on a perdu et on aurait du gagner même à 10 contre 12.
Des le départ on a sentit que le 12ème homme ferait tout pour que le Sporting calme son ardeur, et Gonçalo est tombé dans le piège.
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