dimanche 1 décembre 2019

Liga : Gil Vicente FC 3-1 Sporting CP

12ème journée : Jeudi dernier, de nombreux supporters ont certainement imaginé que la saison gagnerait une seconde vie. Après avoir remporté trois victoires consécutives, le Sporting a réalisé la meilleure performance de la saison contre le PSV Eindhoven. La vérité, c’est que trois jours ont suffi pour une démonstration des plus pauvres et une défaite à Barcelos, contre une équipe du bas ventre creux de la Liga portugaise.
Silas n’a échangé qu’un joueur par rapport au match en Europa League, mais il semble qu’il ait changé toute l’équipe. Telles étaient les différences entre la posture des deux matches. Le premier tir du Sporting n'a eu lieu qu'après 40 minutes de jeu.
Même si les cinq dernières minutes de la première mi-temps pouvaient laisser entrevoir une réaction de l’équipe de Silas, on peut dire, que la deuxième mi-temps a été encore pire.
Des erreurs à ne plus en pouvoir... toute l'équipe et l'entraîneur dans le même sac.
Trop mauvais pour une équipe qui ambitionne de remporter des titres. Lente, sans solutions et avec un groupe de joueurs qui n'est pas digne de porter le maillot d'un club comme le Sporting Clube de Portugal.

Gil Vicente FC : Denis, Fernando Fonseca, Ygor Nogueira, Ruben Fernandes, Henrique Gomes, Yves Baraye (João Afonso, 86è), William Soares, Claude Goncalves, Arthur Henrique (Lourency, 45è), Bozhidar Kraev et SandroLima (Zakaria Naidji, 73è)
Entraîneur : Vítor Oliveira
Buts : Bozhidar Kraev (18è), Sandro Lima (55è, penalty), Zakaria Naidji, (90è+9)

Sporting CP : Luís Maximiano, Valentin Rosier, Tiago Ilori (Eduardo Henrique, 83è), Jérémy Mathieu, Marcos Acuña, Idrissa Doumbia, Marcus Wendel (Yannick Bolasie, 68è), Bruno Fernandes, Jesé Rodriguez (Rafael Camacho, 76è), Luciano Vietto et Luiz Phellype
Entraîneur : Silas
But : Marcus Wendel (45è+4)

1 commentaire:

Toni a dit…

Le match contre le PSV a été l'erreur de "parcours ", on est vite revenu aux matchs auxquels on assiste depuis des mois et cela va encore continuer tellement on est médiocre