jeudi 1 août 2019

Cashball : Affaire classée !

Le conseil de discipline de la Fédération Portugaise de Handball a publié mardi 30 juillet, une déclaration clôturant le processus d’enquête disciplinaire concernant l’affaire dite « Cashball » et la prétendue implication du Sporting CP dans un stratagème de corruption visant à remporter le championnat de handball 2016/2017.
Cette enquête à été ouverte à la suite des informations publiées dans les médias le 15 mai.2018, soulevant la suspicion d'infractions.
Suite à ses accusations, le Team Manager, André Geraldes, à été placé en garde à vue et à fini par démissionner avant d'être innocenté.

Pour mémoire :
Le procès en justice appelé « Cashball » est né après que l’impresario, Paulo Silva, qui s'est accusé lui même, ai dénoncé un prétendu stratagème de corruption impliquant le Sporting et les équipes d'arbitrage. 
 
Quelques premières pages du torchon « Correio da Manhã », ce ne sont que les excréments d'une presse qui se doit d'être objective, mais qui ne sert qu'à détourner les attentions des réalités. En haut à droite, les deux journalistes qui ont colporté et diffamé André Geraldes et le nom du Sporting CP. 

Bref historique :
Le 15 mai 2018, le journal quotidien et CMTV « Correio da Manhã » a lancé une campagne abjecte contre le Sporting.
C'est précisément ce jour-là que le journal a lancé l'affaire « Cashball » grâce à un témoignage acheté auprès d'un présumé impresario.
Coïncidence où pas, à la fin de cette journée, l’Académie du Sporting a été envahie, avec les conséquences qui ont suivi et qui ont porté une grave atteinte au bon nom du Sporting Clube de Portugal.

Dans un article publié par le journal « Expresso », figure un document du tribunal judiciaire du district de Porto où le « repentit », Paulo Silva a déclaré aux autorités qu'il avait accordé l'interview au « Correio da Manhã » car « il avait besoin d'argent pour subvenir aux besoins de ses enfants car il était au chômage depuis le début de l'année. 2018 ». Paulo Silva conclut en déclarant « qu'il a accepté de donner cette interviews, car on lui a offert une grande somme d'argent ».

À ce stade de la compétition, tout le monde aura compris que l’affaire « Cashball », n'est qu'une vaste campagne nauséabonde, inventée par le « Correio da Manhã », pour détourner l'attention des cas graves de corruption impliquant le club du SL Benfica.

André Geraldes et Bruno de Carvalho, les victimes collatérales de cette ignoble campagne, qui se sont toujours dressés et opposés au pouvoir établi au Portugal. 

Cette puanteur a fait écho dans toute la presse nationale et internationale, et depuis mardi, les démentis ne bousculent pas dans cette même presse.

De remarquer aussi l’étrange silence de l'actuelle direction du Sporting CP sur cette décision, car cela innocente aussi le destitué président Bruno de Carvalho.

Aucun commentaire: