Les premières images de TF1 et l’écoute des hymnes nationaux Turc et Allemand m’ont ramené quelques jours en arrière. Je n’ai pas put m’empêcher de pester contre tous les dieux, surtout contre les dieux du stade portugais.
Oui, le Portugal devrait être présent dans cette demi finale. Ce n’était pas un droit mais un devoir. Après avoir battu la Turquie avec la manière par 2-0 lors du premier match de poule (d’ailleurs c’est la seul défaite de la Turquie jusqu'à ce jour), les joueurs portugais et leur entraîneur se sont lamentablement écroulés en quarts de finale contre une équipe Allemande rusée et efficace. Le troisième but allemand en est la preuve, Ballack pousse le défenseur portugais Paulo Ferreira et de la tête bat Ricardo qui ferme les yeux, loupe sa sortie, comme s’il avait peur de voir la défaite et surtout de voir l’inéluctable réalité, mentalement les joueurs portugais sont nuls.
J’imagine les «prima Donna» portugaises dont le leader Cristiano Ronaldo en est le fidèle représentant prélassés dans un palace de l’Algarve ou d’une quelconque île paradisiaque, entourés de paparazzi, de groupies, de fûts de bière, se vantant qu’ils auraient fait mieux que les Turcs ou les Allemands… Certes ! mais ce n’est pas la même manière de mouiller son maillot !
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