Retour sur l’AG : La planification et le recrutement du Sporting inquiète les Sócios
Si
la posture de Frederico Varandas était initialement pacifique, au
fur et à mesure que la journée avançait, le président a riposté
avec plus de véhémence. Avec Vitor Afonso, du « Movimento
Hoje e Sempre
Sporting »
(Mouvement
Aujourd’hui et Toujours Sporting ), il
y a eu une discussion plus animée.
Les Sócios
ont mis en
cause la politique de recrutements du club et regrettent le manque de
pari dans la formation.
Le jour de l'Assemblée Générale, le
président Frederico Varandas a été interrogé sur la
planification de la saison sportive 2023/24 et même sur la stratégie
pour le football. Les Sócios
du Sporting ont exprimé leur inquiétude quant au fait que tout
renforcement de l'équipe aux ordres de Rúben Amorim n'a pas encore
été confirmé, même en le comparant à l'action du rival Benfica
sur le marché.
Les problèmes contractuels des joueurs
plus âgés de l'équipe, tels que Coates, Adán et Neto ainsi que le
gros investissement dans les joueurs qui, en raison de leur âge,
n'apporteront plus de gains futurs en cas de vente, avec des exemples
pratiques de Paulinho et Ricardo Esgaio, ont également fait l'objet
de critiques.
Tant dans le discours d'ouverture que dans les
réponses, Frederico Varandas a reconnu la mauvaise saison. « Nous
n'avons pas pu concrétiser la qualité de jeu en termes de points et
de trophées, ayant terminé en deçà de nos attentes. L'analyse
interne a été effectuée, les leçons ont été tirées et la
planification d'une nouvelle saison est déjà en cours et avec le
désir de revenir à succès sportif », a t-il réagi, pointant
vers l'avenir : « Plus important que les titres remportés dans
le passé récent dans le football est le cap fixé, qui nous a donné
la stabilité, la reprise financière et l'augmentation des revenus »
!!!!
2 commentaires:
oui c'est inquiétant surtout quand on entend qu'on va payer 20 millions pour un attaquant de 2nde division anglaise et qui est a 1 an de la fin de son contrat. j'ai du comprendre à suivre la politique sportive, il y a surement mieux et moins cher...
Imagine Varandas, comme médecin/militaire, qui déclare :
"Dans une bataille l'important ce n'est pas le nombre de morts, mais les blessés et les malades qu'il faut soigner, pour gagner la guerre".
Nous avons un président et un groupe de bisounours qui dirige notre club.
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