lundi 28 avril 2008

Liga 28e journée / Sporting 2 - Marítimo 1

La Champions League dans la main !

Les joueurs sont rentrés sur le terrain avec un cadeau venu de la ville berceau, Guimarães, le FC Porto ayant écrasé le Vitória local par 5-0. Une chance inouïe de rattraper la deuxième place se profile.
Hors l’inqualifiable est arrivé, un cadeau monumental de la défense du Sporting permet à Marítimo d’ouvrir le score dès la deuxième minute !
19e minute un penalty généreux suite à une faute sur Romagnoli et tiré par lui même rétabli l’égalité et donne de l’espoir aux supporters si malmenés depuis quelques jours.
Sur les 28 journées le Sporting a commencé 13 matchs mené au score, presque la moitié des rencontres, une tendance masochiste évidente. La qualité technique la jeunesse sont là mais apparemment les joueurs du Sporting ont plutôt besoin d’un psy que d’un entraîneur de foot, mentalement inexistants dans les moments importants. On connaissait la peur de perdre, les joueurs du Sporting nous jouent le film «La peur de gagner», film de suspense digne d’un Hitchcock, émotions fortes garanties et nerfs à vif assurés.
La deuxième mi-temps début sur un scénario favorable, Romagnoli marque son deuxième but et donne l’avantage au Sporting, l’habituelle souffrance nous accompagne jusqu'au sifflet final et la victoire dans la douleur du Sporting nous place à la 2e place de la Liga, porte grande ouverte vers la Champions League. Les brésiliens de Madère sont venus à Alvalade sans fond de jeu, sans ambitions et n’ont jamais rien fait pour mériter leur 7e place, finalement les Lions sans bien jouer ont fini par mériter leur victoire dans un mauvais match avec 3 buts venus de nul part.

1 commentaire:

Peyroteo a dit…

Como se destrói um jogador e uma equipa!

Os mesmos que o trouxeram para o Sporting, onde fez parte de uma super equipa que limpou tudo, quiseram depois levá-lo para outra paragens como bandeira eleitoral, capaz de transferir para esses lados o domínio do futebol Português, aproveitando uma curta fase de 3 anos em que o POLVO esteve mais adormecido.
Nessa altura, com um Jardel em forma era meio caminho andado para se ser campeão.
Na impossibilidade de concretizar a porca “transferência” recorreu-se à política da terra queimada, metendo o ingénuo Cearense no mundo do jogo, droga e prostituição.
Destruí-se um homem e desfez-se uma grande equipa, que tinha todas as condições para se assumir no comando hegemónico do futebol Nacional pelo menos por uns anos.
Jardel deu uma triste entrevista, onde só pode meter pena:
Quero acreditar que se recupere para a vida como um cidadão comum, mas temo que acabe como o Vítor Baptista, a viver numa barraca e a mendigar esmolas e um prato de sopa.
Gostava que Jardel pusesse os nomes aos bois, nesta história das más companhias que o arrastaram e enterram no sub-mundo, apesar muitos de nós sabermos perfeitamente quem são!

http://bola-na-trave.blogspot.com/