Liga : Belenenses SAD 1-2 Sporting CP
11ème journée : Malgré un but marqué dès
la cinquième minute, le Sporting, confronté a une équipe très
agressive sur le porteur du ballon et en exerçant une pression très
haute, n'a pas réussi a produire son jeu habituel. L'égalisation de
Belenenses huit minutes plus tard n'était que logique et le pire à
été évité lorsque Varela parti en position de hors jeu et un
télescopage entre Miguel Cardoso et Adán, ont donné la
possibilité à l'arbitre Rui Costa, malgré la consultation du VAR,
de siffler et de maintenir le penalty montrant un carton jaune au
gardien Sportinguista qui a eu le réflexe de se jeter du bon coté
empêchant le même Miguel Cardoso de donner l'avantage à son
équipe. C'est sur une autre action entre l'intenable Tiago Tomás et
Tiago Esgaio, que cette fois-ci un penalty limpide à permis aux
Lions de prendre les devants avec la transformation de João Mário.
Suite à une première
période très intense, la seconde le fut moins, le Sporting
réussissant quelque peu a contenir les assauts de Belenenses, qui se
montrait plus enjoué, malgré le fait d’être réduit à 10
pendant les dernières 15 minutes.
Deux
occasions, deux buts, c'est ainsi que le Sporting a gardé la tête
jusqu'au début de 2021, avec une victoire à l'arrachée contre un
Belenenses, doté de la plus mauvaise attaque de la Liga et qui s'est
retrouvé vaincu par le leader dans un match où il a eu plusieurs
occasions de marquer. Un leader doit savoir souffrir et sur la
pelouse glissante du stade National, le Sporting a juste été une
équipe qui a su souffrir, pour sortir vainqueur d'un match pas très
bien réussi.
Belenenses SAD :
Kritciuk, Diogo Calila, Danny Henriques, Tomás Ribeiro, Rúben Lima,
Yaya Sithole (Bruno Ramires, 80è), Afonso Taira (Cauê, 86è),
Miguel Cardoso (Mateo Cassierra, 86è), Afonso Sousa (Edi Semedo,
80è), Tiago Esgaio et Silvestre Varela (Francisco Teixeira, 72è)
Entraîneur : Petit
But : Miguel Cardoso
(14è)
Sporting CP : Antonio
Adán, Luís Neto, Sebastián Coates, Gonçalo Inácio, Pedro Porro,
João Mário, João Palhinha (Matheus Nunes, 78è), Nuno Mendes
(Antunes, 78è), Pedro Gonçalves (Nuno Santos, 68è), Bruno Tabata
et Tiago Tomás (Andraž Šporar, 84è)
Entraîneur : Rúben
Amorim
Buts : Tiago Tomás
(5è), João Mário (24è, penalty)
3 commentaires:
Pitoyable ce match, on ressort avec un très bon résultat. Même à 10 on n'a pas réussi à gérer la rencontre. Quand je vois qu'Adan est élu homme du match ça me fait sourire... certes il arrête le penalty mais bon il répare juste sa sortie foireuse ensuite il nous a encore gratiné de ses sorties aériennes dans le vent à la Ricardo. Franchement il me rassure pas. Après toute l'équipe a fait un mauvais match, Neto a passé son match a glissé, il a pensé à changer de crampon ??? Enfin lamentable la prestation
Franchement je comprends pas l’acharnement sur Adan... Là seul sorti « loupé » c’est celle où coates le devance alors qu’il lui hurle de laisser... Ce même Coates qui couvre à chaque fois l’attaquant en profondeur que Adan empêche de marquer en gagnant de multiple fois ses face à face.
Pour le « peno » c’est une honte, déjà que Varela fait action de jeu, c’est bien le gardien qui touche le ballon ET ce fait percuter, la faute était sur lui et non le contraire donc il n’a rien réparer du tout, il a juste une enieme fois sauver les fesses de Coates qui couvrait une enieme fois Cardoso.
Pour moi l’homme du match a été Petit, qui avec son équipe et la leçon bien apprise, a réussi à banaliser le leader.
Dans un collectif noyé dans la tactique de Belenenses, malgré ses lacunes, le seul survivant a été Adán, avec Tiago Tomás qui s’est dépensé sans compter, Pedro Porro qui a essayé et João Mário qui a apporté un peu de clairvoyance. Même Pedro Gonçalves, d’habitude si brillant, a été invisible, même s’il n’était pas à son poste habituel.
Contre Farense on a échappé belle, contre Belenenses, on a été chanceux.
J’ai comme l’impression que l’étau se resserre à chaque rencontre, car nos adversaires, même en utilisant des tactiques complètement différentes nous posent de plus en plus d’énormes problèmes.
C’est désormais à Rúben Amorim de bien étudier les leçons et de faire en sorte que notre équipe puisse imposer son jeu à chaque rencontre et garder la tête.
C’est l’équation pour devenir un Champion.
Le prochain teste grandeur nature c’est déjà la réception à Braga, son ancienne équipe.
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