Dans les coulisses des points perdus
Après le coup de sifflet
final de la rencontre Famalicão 2-2 Sporting, les esprits se sont
enflammés dans la zone d'accès aux vestiaires. Adán était l'un
des joueurs les plus exaltés. Le président du Sporting, Frederico
Varandas, était également présent et s'est adressé directement à
l'équipe d'arbitrage.
S’adressant
aux journalistes, le président Frederico Varandas a souligné le
«but propre» de Coates lors du match et a évoqué les 4 points
«retirés» aux verts et blancs. «Ils commencent à trembler», a
t-il commencé. «Nous avons à nouveau eu un arbitre VAR pour
influencer le résultat à un moment clé. Cette dernière décision
d'annuler le but de Coates, si c'était avec l'un des rivaux, le
Benfica ou le FC Porto, ce but ne serait jamais annulé. Dans un
match de football, il y a des erreurs normales.
Ce qui m'inquiète,
c'est la nature et la façon dont le VAR est utilisé. Cette action
se termine par un but parfaitement net. Ce qui se passe, c'est: «nous
allons utiliser le VAR et trouver quelque chose qui justifie
l'objectif». Avec une caméra microscopique, avec une augmentation
de 64 fois ... cet but ne serait jamais annulé pour nos rivaux. En
tant que président du Sporting, cela me coûte de voir 4 points
supprimés là où le VAR est mal utilisé. J'ai déjà parlé au
président du Conseil d'Arbitrage. Les spécialistes voient un cadre
dans lequel le bras de Coates touche celui de Luiz Júnior,
mais le but est net. On avait 4 points d'avance et ils commencent à
trembler. Mais plus ils tremblent, plus de force ils donnent au
groupe », a t-il conclu.
Aujourd'hui, dans une
publication dans les réseaux sociaux, Miguel Braga, directeur de la
communication du Sporting cite un exemple du
double critère de Luís Godinho. «Le joueur de Famalicão pousse le
ballon et est juste averti verbalement par l’arbitre. Le joueur du
Sporting (Pedro Gonçalves) pousse le ballon et voit immédiatement
le deuxième carton jaune. C'est ce qu'on appelle la dualité des
critères», a souligné Miguel Braga. «Nous attendons aussi à tout
moment la position du Conseil d'arbitrage sur l'action de João
Mário, (poussé dans le dos) et cette dualité de critères», a
t-il ironisé.
1 commentaire:
Heureux de voir qu’il se réveille celui là ! On est loin de Carvalho mais c’est mieux que rien...
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