jeudi 1 janvier 2015

Une polémique stérile qui doit s’arrêter !

Quand Bruno de Carvalho à été élu Président le dimanche 24 mars 2013, une bouffée d'air frais à soufflé au royaume du Lion. A 41 ans il devient le 42è Président du Sporting Clube de Portugal. Passionné, entier, il avait comme objectif de faire monter le Lion sur trône de la jungle du sport portugais, trône dont les barons du club l'avaient fait tomber. Le plus grand club omnisports lusitanien n'a eu besoin de personne pour le démolir, ses propres dirigeants l'ont fait imploser. Les ennemis se léchaient les babines... Et puis BdC est arrivé ! Il à tiré dans dans les sens, parfois aussi des balles dans le pied, mais au bout de 19 mois de présidence le Sporting commence à être respecté, même si les résultats sportifs ne sont pas encore au rendez-vous. BdC anime les passions, il alimente l'amour du club et la haine de ses adversaires.

 Il à suffit de quelques commentaires malheureux sur Facebook après la rencontre à Guimarães le samedi 1er novembre, pour que les vipères crachent leur venin. Normal ! Il déchaîne les passions et les hyènes en embuscade n'attendent que ça. Les relations avec l'entraîneur Marco Silva sont tendues, ça se voit, pas besoin de spéculateurs mal intentionnés pour le rendre publique.

Les résultats de l'équipe principal ne sont pas à la hauteur de ceux espérés, la tâche de l’entraîneur pas facile. Marco Silva est jeune aussi, pas habitué aux coulisses d'un grand club et parfois les joueurs ont manqué d'ambition sur le terrain, comme si les rencontres contre les « petits » de la la Liga portugaise ne les intéressait pas. Trop de points perdus à domicile. Or justement les titres commencent à se gagner dans les petits matchs, et c'est la où le bât blesse. Mais le Sporting n'est pas qu'une équipe de football, c'est une famille, un club omnisports avec des infrastructures formidables et des supporters fantastiques, un passé riche et un avenir prometteur. Le Président n'est pas parfait, il porte en lui l'ambition du Sporting Clube de Portugal, des erreurs il en commettra d'autres, mais il ne faut surtout pas que les supporters se laissent distraire par les charognards.

Le médisant a le diable sur la langue, et l'écoutant l'a dans l'oreille. La persévérance mène à récompense et quand un individu est sûr de lui, les contestations les plus bruyantes ne peuvent le faire reculer. Comme dit le vieux proverbe arabe « Les chiens aboient, la caravane passe ».

Bonne Année 2015, a tous les Sportinguistas,
à tous nous amis... à tous nos ennemis.

Aucun commentaire: