Des alertes bancaires ont motivé de nouvelles recherches dans les locaux du Benfica
Saison
VIII : Pendant qu'une grande partie des médias portugais
s'obstine a faire les gros titres sur ce qui se passe chez le
Sporting CP, les affaires gravissimes concernant la pieuvre rouge
continuent quasi quotidiennement, mais sont reléguées au second
plan. Quelques journaux et journalistes osent encore s'attaquer au
pouvoir subversif du Benfica, qui cette fois-ci est suspecté de
laver près de 2 millions d'euros avec un contrat fictif.
C'est
une alerte de la banque qui a conduit aux fouilles chez Benfica, qui
ont abouti à la constitution de six prévenus.
Selon le journal « Jornal de Notícias », l'alerte est venue en raison des lois de lutte contre le financement du terrorisme et du blanchiment d'argent, qui obligent les banques à divulguer des transactions financières suspectes aux autorités.
Les perquisitions ont été menées sur des soupçons de fraude fiscale et de blanchiment d'argent. Le procureur général du district de Lisbonne a indiqué dans un communiqué que près de 1,9 millions d'euros, originaires de du Benfica SAD (Société Anonyme Sportive) et du Benfica Stade SA a été transférée sur le compte d'une société d'informatique, puis retiré en espèces.
L'enquête est menée par le Département des enquêtes criminelles et de l'action de Lisbonne, avec l'aide de la police judiciaire.
Selon le journal « Jornal de Notícias », l'alerte est venue en raison des lois de lutte contre le financement du terrorisme et du blanchiment d'argent, qui obligent les banques à divulguer des transactions financières suspectes aux autorités.
Les perquisitions ont été menées sur des soupçons de fraude fiscale et de blanchiment d'argent. Le procureur général du district de Lisbonne a indiqué dans un communiqué que près de 1,9 millions d'euros, originaires de du Benfica SAD (Société Anonyme Sportive) et du Benfica Stade SA a été transférée sur le compte d'une société d'informatique, puis retiré en espèces.
L'enquête est menée par le Département des enquêtes criminelles et de l'action de Lisbonne, avec l'aide de la police judiciaire.
Les agressions
perpétrées part un groupe d'individus sympathisants du Sporting aux
joueurs et entraîneur (emprisonnés depuis) et la dite affaire
« Cashball », rendue publique par imprésario privé qui
c'est dénoncé lui-même - pour tentative de corruption à des
joueurs adversaires - sont de la rigolade à côté de toutes les
affaires rendues publiques depuis plusieurs mois concernant le Sport
Lisboa e Benfica.
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