Sporting vs Benfica : la guerre froide
La tension est montée entre
notre club et Benfica après les incidents survenus lors du
derby de futsal où les locaux avaient déployé une banderole
commémorative du jet d’un very light sur un sócio du Sporting qui
avait entrainé sa mort lors de la finale de la coupe du Portugal en
1996. De plus il y a eu des chants encourageant les benfiquistes à
continuer ces actes pour le match de football programmé le jour
suivant.
Bruno De Carvalho a alors condamné ces comportements qui n’ont rien à voir avec le sport et s’est indigné contre Benfica qui n’a pas réprouvé ces actes alors que leur président était présent lors de la rencontre de futsal et qu’il a laissé en l’état la banderole, ne faisant rien pour l’enlever.
Benfica a ensuite rétorqué disant que les propos de notre président était du folklore. Son président s’est aussi plaint de l’accueil fait en tribune présidentiel, que le speaker n’avait pas prononcé le nom Benfica en les désignant seulement comme équipe visiteuse, que lui préside son club comme un président et non comme un supporter, qu’il ne faisait pas de déclaration via facebook, qu’il n’attaquait pas en justice les sócios qui le critiquent, qu’il assumait quand il licenciait un entraîneur, et qu’il n’avait pas stopper les relations avec le Sporting quand leurs supporters avaient incendié le stade.
La réponse de notre président ne s’est pas fait attendre, la justifiant par le fait qu’il ne pouvait pas rester muet face à tant d’hypocrisie et de mensonges. Bruno De Carvalho s’indigne de nouveau face à ce président qui considère sans importance et comme du folklore la mort d’un sócio et la tentative d’en assassiner d’autres. Il riposte ensuite que Luis Filipe Vieira veut être le nouveau Pape du football portugais, et que celui-ci lui aurait proposé une alliance afin de contrôler la ligue et ainsi se diviser des titres entre les 2 clubs. Notre président a aussi fait remarquer que Vieira n’a effectivement pas de facebook car ce dernier avait peur des éventuelles critiques que ses sócios pourraient lui faire. De plus, Bruno De Carvalho note que si Luis Filipe Vieira n’attaque pas au tribunal les graves accusations que lui sont faites pas les sócio benfiquistes, c’est qu’il ne les trouve pas diffamatoires, et que c’est donc son problème. Notre président constate également que son homologue de Benfica ne peut pas présider son club en tant que premier supporter car il a été en même temps sócio des 3 grands et qu’il a surement plus d’année d’affiliation à Porto qu’à Benfica. Bruno De Carvalho critique ensuite la politique sportive de Benfica disant que Vieira ne parie pas sur la formation, qu’il a acheté cette saison 3 défenseurs gauche et qu’il a une mauvaise gestion de son projet. Notre président a finalement réagit sur l’outrage vécu par Luis Filipe Vieira lorsque le speaker n’a pas prononcé le nom de Benfica, en lui rappelant que lui avait éteint les lumières et mis en route l’arrosage automatique pour éviter que Porto ne fête sa victoire en plein stade de la Luz.
Pour analyser cette guerre froide, tout en essayant d’être objectif, il semble que la moindre des choses auraient été que Benfica condamne la banderole allusive au very light et aux chants poussant à recommencer ce type d’acte. Attendre pratiquement 1 semaine pour le faire, c’est beaucoup trop long. Après les attaques entre président n’apporte rien au débat et essayer de donner des leçons de morale c’est facile, mais de chaque côté on peut retrouver à redire sur des comportements de chacun, même si dans ce cas notre club me semble plus en droit de critiquer que l’inverse. Quand notre président critique la politique sportive et la gestion financière de Benfica, tout d’abord j’aurais envie de lui dire que je m’en fous de ce qu’ils font, qu’ils achètent 10 attaquants, qu’ils jouent avec que des étrangers, j’en ai rien à secouer, c’est leur problème. En plus remettre en cause leur gestion me paraît très limite quand on sait que Benfica vend ses joueurs à prix d’or et a fait de grosses plus-values.
Je suis toutefois d’accord avec notre président quant au fait de couper toutes relations avec ces gens, eux et Porto également, qu’ils vivent de leur côté et nous du notre car leurs méthodes, leurs mentalités, leurs comportements, leurs valeurs sont différentes des nôtres, différence que nous avons pu voir lors de ces derniers jours. De plus, à chaque fois que nous étions en bonne relation avec Benfica, ils en ont profité pour nous entuber, comme par exemple pour décaler des matchs quand il y a une compétition européenne histoire d’avoir un jour de plus de repos, mais quand c’est l’inverse ça ne fonctionne plus. Ils ont été aussi mielleux avec Dias Da Cunha quand ils ont voulu récupérer Nuno Assis dont nous pouvions bloquer le transfert et qui finalement sera un joueur décisif pour Benfica qui remportera le titre à notre dépend.
Bruno De Carvalho a alors condamné ces comportements qui n’ont rien à voir avec le sport et s’est indigné contre Benfica qui n’a pas réprouvé ces actes alors que leur président était présent lors de la rencontre de futsal et qu’il a laissé en l’état la banderole, ne faisant rien pour l’enlever.
Benfica a ensuite rétorqué disant que les propos de notre président était du folklore. Son président s’est aussi plaint de l’accueil fait en tribune présidentiel, que le speaker n’avait pas prononcé le nom Benfica en les désignant seulement comme équipe visiteuse, que lui préside son club comme un président et non comme un supporter, qu’il ne faisait pas de déclaration via facebook, qu’il n’attaquait pas en justice les sócios qui le critiquent, qu’il assumait quand il licenciait un entraîneur, et qu’il n’avait pas stopper les relations avec le Sporting quand leurs supporters avaient incendié le stade.
La réponse de notre président ne s’est pas fait attendre, la justifiant par le fait qu’il ne pouvait pas rester muet face à tant d’hypocrisie et de mensonges. Bruno De Carvalho s’indigne de nouveau face à ce président qui considère sans importance et comme du folklore la mort d’un sócio et la tentative d’en assassiner d’autres. Il riposte ensuite que Luis Filipe Vieira veut être le nouveau Pape du football portugais, et que celui-ci lui aurait proposé une alliance afin de contrôler la ligue et ainsi se diviser des titres entre les 2 clubs. Notre président a aussi fait remarquer que Vieira n’a effectivement pas de facebook car ce dernier avait peur des éventuelles critiques que ses sócios pourraient lui faire. De plus, Bruno De Carvalho note que si Luis Filipe Vieira n’attaque pas au tribunal les graves accusations que lui sont faites pas les sócio benfiquistes, c’est qu’il ne les trouve pas diffamatoires, et que c’est donc son problème. Notre président constate également que son homologue de Benfica ne peut pas présider son club en tant que premier supporter car il a été en même temps sócio des 3 grands et qu’il a surement plus d’année d’affiliation à Porto qu’à Benfica. Bruno De Carvalho critique ensuite la politique sportive de Benfica disant que Vieira ne parie pas sur la formation, qu’il a acheté cette saison 3 défenseurs gauche et qu’il a une mauvaise gestion de son projet. Notre président a finalement réagit sur l’outrage vécu par Luis Filipe Vieira lorsque le speaker n’a pas prononcé le nom de Benfica, en lui rappelant que lui avait éteint les lumières et mis en route l’arrosage automatique pour éviter que Porto ne fête sa victoire en plein stade de la Luz.
Pour analyser cette guerre froide, tout en essayant d’être objectif, il semble que la moindre des choses auraient été que Benfica condamne la banderole allusive au very light et aux chants poussant à recommencer ce type d’acte. Attendre pratiquement 1 semaine pour le faire, c’est beaucoup trop long. Après les attaques entre président n’apporte rien au débat et essayer de donner des leçons de morale c’est facile, mais de chaque côté on peut retrouver à redire sur des comportements de chacun, même si dans ce cas notre club me semble plus en droit de critiquer que l’inverse. Quand notre président critique la politique sportive et la gestion financière de Benfica, tout d’abord j’aurais envie de lui dire que je m’en fous de ce qu’ils font, qu’ils achètent 10 attaquants, qu’ils jouent avec que des étrangers, j’en ai rien à secouer, c’est leur problème. En plus remettre en cause leur gestion me paraît très limite quand on sait que Benfica vend ses joueurs à prix d’or et a fait de grosses plus-values.
Je suis toutefois d’accord avec notre président quant au fait de couper toutes relations avec ces gens, eux et Porto également, qu’ils vivent de leur côté et nous du notre car leurs méthodes, leurs mentalités, leurs comportements, leurs valeurs sont différentes des nôtres, différence que nous avons pu voir lors de ces derniers jours. De plus, à chaque fois que nous étions en bonne relation avec Benfica, ils en ont profité pour nous entuber, comme par exemple pour décaler des matchs quand il y a une compétition européenne histoire d’avoir un jour de plus de repos, mais quand c’est l’inverse ça ne fonctionne plus. Ils ont été aussi mielleux avec Dias Da Cunha quand ils ont voulu récupérer Nuno Assis dont nous pouvions bloquer le transfert et qui finalement sera un joueur décisif pour Benfica qui remportera le titre à notre dépend.
1 commentaire:
Salut Toni,
Ce qui se passe n'a rien d'étonnant, on doit respecter ses adversaires, mais surtout se faire respecter. Cela fait beaucoup trop de temps que nous nous faisons piétiner par les rivaux, sur le terrain peut-être, mais surtout dans les coulisses. Complétement d'accord avec toi, on doit continuer notre route avec nos valeurs, qui sont aux antipodes des autres.
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