Au Portugal, l’important est de siffler
Les arbitres au Portugal sifflent de trop. Ils sifflent des fautes a tord et a travers. Le moindre contact est un coup franc. Le football est un sport physique et le contact entre joueurs y est fréquent. L’excès de coup francs, caractéristique du football portugais, entraine des conséquences néfastes.
- La première - et la plus commentée - concerne les interruptions constantes des matchs. Le jeu est sans arrêt interrompu et les parties se transforment en une succession de coups francs et de corners, les phases de jeu avec un début et une fin se comptent sur le bout des doigts.
- La deuxième concerne les habitudes crées chez les joueurs. Comme les arbitres sifflent souvent, les joueurs ont tendance à se jeter par terre au moindre contact. Ces conditions font, que quand les joueurs portugais jouent à l’étranger, ils se font remarquer par leur habitude d’être toujours allongés par terre. Si les arbitre portugais sifflaient moins les jeunes joueurs s’habitueraient à lutter pour la maitrise du ballon jusqu’au bout en allant au terme de leurs actions de jeu, même si parfois les fautes sont réelles.
- La troisième conséquence concerne le nombre de buts marqué sur coup de pied arrêté. Pendant qu’en Angleterre, en Espagne, en France on voit surtout des buts qui sont marqués à la fin de phases de jeu en mouvement - c’est ça qui fait la beauté du football - au Portugal on voit énormément de buts issus de corners, de coup francs, de penaltys…
Pour le bien du football, les arbitre portugais devraient prendre l’habitude de siffler moins (et mieux) même si parfois quelques petites fautes passent au travers.
On peut ajouter à cela une conséquence qui s’ajoute aux trois autres et fausse toutes les données. C’est l’habitude compulsive des arbitres portugais à pénaliser certains clubs et à en avantager certains autres.
Source, José António Saraiva, journaliste portugais
- La première - et la plus commentée - concerne les interruptions constantes des matchs. Le jeu est sans arrêt interrompu et les parties se transforment en une succession de coups francs et de corners, les phases de jeu avec un début et une fin se comptent sur le bout des doigts.
- La deuxième concerne les habitudes crées chez les joueurs. Comme les arbitres sifflent souvent, les joueurs ont tendance à se jeter par terre au moindre contact. Ces conditions font, que quand les joueurs portugais jouent à l’étranger, ils se font remarquer par leur habitude d’être toujours allongés par terre. Si les arbitre portugais sifflaient moins les jeunes joueurs s’habitueraient à lutter pour la maitrise du ballon jusqu’au bout en allant au terme de leurs actions de jeu, même si parfois les fautes sont réelles.
- La troisième conséquence concerne le nombre de buts marqué sur coup de pied arrêté. Pendant qu’en Angleterre, en Espagne, en France on voit surtout des buts qui sont marqués à la fin de phases de jeu en mouvement - c’est ça qui fait la beauté du football - au Portugal on voit énormément de buts issus de corners, de coup francs, de penaltys…
Pour le bien du football, les arbitre portugais devraient prendre l’habitude de siffler moins (et mieux) même si parfois quelques petites fautes passent au travers.
On peut ajouter à cela une conséquence qui s’ajoute aux trois autres et fausse toutes les données. C’est l’habitude compulsive des arbitres portugais à pénaliser certains clubs et à en avantager certains autres.
Source, José António Saraiva, journaliste portugais
Jeudi 17 septembre à 19h - Abe Lenstra Stadion
1ere journée Europa League - Groupe D
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Heerenveen vs Sporting
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