Mondial 2010 : «Comme ça on ne gagnera pas Carlos»
Ils n'ont pas gagné et par la même occasion ils ont montré une pâle image du football portugais. Aux antipodes de ce que aiment les joueurs et le public lusitanien, aller vers l'avant.
La Selecção est arrivée à l'aube du 1er juillet au Portugal et les supporters qui ont bravé le sommeil n'avaient de compliments que pour Eduardo, pour Carlos Queiroz, quelques méprisants «rentre chez toi» ont fait écho dans l'aéroport de Lisbonne.
Malheureusement Queiroz à affirmé haut et fort qu'il ne démissionnerait pas, il s'accroche comme un morpion aux testicules de Madail, président de la Fédération Portugaise de Football, qui pour sa part prétend que la selecção «A fait le minimum demandé». Vraiment le minimum !
Le Président du Sporting, José Eduardo Bettencourt, ne voit aucune raison valable pour que Queiroz démissionne. Je comprends pourquoi. Il n'y a pas qu'une raison, il y a une multitude de raisons, et JEB pendant la saison écoulée aurait du démissionner plus d'une fois. Malgré tout il y a une différence fondamentale entre les deux hommes. JEB aime son club et s'est remis en question, Queiroz aime que l'on parle de lui, mais son ego est tellement élevé que le doute ne l'effleure jamais.
Pour ceux qui suivent Planète Sporting, les opinions laissées depuis longtemps sur Carlos Queiroz, ses choix, ses méthodes de jeu ne faisaient que prédire la chronique d'une élimination annoncée. A mon plus grand regret. J'aurais tant aimé me tromper !
Les vacances approchent et je vais faire un break sur l'équipe Nationale portugaise, j'aurais tant aimé traverser l'Espagne vêtu du maillot lusitanien.
En attendant le prochain match, le mot de la fin revient à Carlos Queiroz. Ce n'est pas une blague ! A son arrivée à Lisbonne il a déclaré aux journalistes présents «Nous avons honoré le football portugais». Je le croyais incompétent, mais non ! Il vit seulement dans une autre planète. Mieux vaut en rire. LOL.
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