Les grimaces d'aujourd'hui peuvent ressembler aux sourires de demain
Portugal 2- 0 Chine : La nullité de l'équipe Nationale Portugaise n'a pas atteint celle de l'équipe de France parce qu'en face il y avait la Chine. Grand pays par sa superficie et sa culture, la Chine du football est encore au stade de la préhistoire. Le choix de ce match par la Fédération Portugaise en vue de la confrontation avec la Corée du Nord au mondial Africain, est comparable au choix de l'entraineur Carlos Queiroz. Douteux, inutile, insipide.
Comme son homologue français, Raymond Domenech, Carlos Queiroz souffre d'un déficit de charisme et de management et l'avenir de la selecção Tuga reste suspendue au talent de ses individualités. Aimé Jacquet, lui aussi atteint de ce même syndrome, connait la grimace et le sourire, critiqué et conspué par les français jusqu'à la finale du Mondial 1998 ou l'équipe représentative de la France «black, blanc beur» c'est imposée. Aimé a été emporté par la vague victorieuse de ses stars face a un Brésil moribond, et la Gaule, doit essentiellement ce titre au talent de Zine’dix Zidane qui n'avait pas perdu la boule ce soir là et a su emmener ses co-équipiers vers le titre tant rêvé dans l'hexagone.
Dans 97 jours les ambitions de Cristiano Ronaldo pourront être assouvies à condition que d'ici là il continue à se montrer plus disponible collectivement sur le terrain et plus discret en dehors. Le capital confiance allié au capital sympathie pourront alors porter la selecção vers les sommets, car un pays de 10 millions d'habitants double champion du monde juniors, peut faire la même chose en séniors, que ceux qui n'y croient pas lèvent le doigt. A moins que - comme c'est devenu la tradition - un penalty bidon contre la France ne vienne s'interposer. Dans ce cas Raymond et Carlos pourront déguster ensemble la soupe à la grimace avec le sourire.
Pendant ce temps au royaume du Lion les affaires vont un peu mieux. Deux victoires retentissantes on donne le moral aux supporters et, espérons le, la confiance et la motivation chez les joueurs. Pour la troisième fois consécutive les lions vont jouer contre une équipe de bleu vêtue - après Everton et Porto – et le derby de Lisbonne demain soir contre Belenenses s'annonce très émotif. D'un côte l'un des plus grand clubs du Portugal - Belenenses - qui se traine à la dernière place de la Liga, de l'autre un autre historique qui sort à peine la tête de l'eau.
Je fais partie de ceux qui se souviennent encore quand le joli stade du Restelo était rempli comme un œuf pour accueillir ce derby avec deux équipes qui luttaient pour les sommets. Nostalgie mise à part, j'aimerais un jour revoir ça, pour que ma grimace d'aujourd'hui devienne mon sourire de demain.
Comme son homologue français, Raymond Domenech, Carlos Queiroz souffre d'un déficit de charisme et de management et l'avenir de la selecção Tuga reste suspendue au talent de ses individualités. Aimé Jacquet, lui aussi atteint de ce même syndrome, connait la grimace et le sourire, critiqué et conspué par les français jusqu'à la finale du Mondial 1998 ou l'équipe représentative de la France «black, blanc beur» c'est imposée. Aimé a été emporté par la vague victorieuse de ses stars face a un Brésil moribond, et la Gaule, doit essentiellement ce titre au talent de Zine’dix Zidane qui n'avait pas perdu la boule ce soir là et a su emmener ses co-équipiers vers le titre tant rêvé dans l'hexagone.
Dans 97 jours les ambitions de Cristiano Ronaldo pourront être assouvies à condition que d'ici là il continue à se montrer plus disponible collectivement sur le terrain et plus discret en dehors. Le capital confiance allié au capital sympathie pourront alors porter la selecção vers les sommets, car un pays de 10 millions d'habitants double champion du monde juniors, peut faire la même chose en séniors, que ceux qui n'y croient pas lèvent le doigt. A moins que - comme c'est devenu la tradition - un penalty bidon contre la France ne vienne s'interposer. Dans ce cas Raymond et Carlos pourront déguster ensemble la soupe à la grimace avec le sourire.
Pendant ce temps au royaume du Lion les affaires vont un peu mieux. Deux victoires retentissantes on donne le moral aux supporters et, espérons le, la confiance et la motivation chez les joueurs. Pour la troisième fois consécutive les lions vont jouer contre une équipe de bleu vêtue - après Everton et Porto – et le derby de Lisbonne demain soir contre Belenenses s'annonce très émotif. D'un côte l'un des plus grand clubs du Portugal - Belenenses - qui se traine à la dernière place de la Liga, de l'autre un autre historique qui sort à peine la tête de l'eau.
Je fais partie de ceux qui se souviennent encore quand le joli stade du Restelo était rempli comme un œuf pour accueillir ce derby avec deux équipes qui luttaient pour les sommets. Nostalgie mise à part, j'aimerais un jour revoir ça, pour que ma grimace d'aujourd'hui devienne mon sourire de demain.
Belenenses vs Sporting
22e journée Liga
Dimanche 7 mars à 19h (fr) - Stade do Restelo à Lisbonne (Belém)
En direct sur RTPi, Canal 367 de CanalSat
22e journée Liga
Dimanche 7 mars à 19h (fr) - Stade do Restelo à Lisbonne (Belém)
En direct sur RTPi, Canal 367 de CanalSat
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