J.E. Bettencourt débordé par ses émotions
En langage commun on peut dire que Bettencourt perd la boule.
Entre accusations de terrorisme envers ses opposants, agressions verbales, menaces et autres attitudes peu conformes au royaume du Lion, le président véhicule une image déplorable de lui-même et du club qu’il dirige. Les supporters et les dirigeants en place, déjà fragilisés par les résultats et le classement peu conformes de l’équipe de football, observent et subissent les frasques d’un président qui au lieu de calmer le jeu dans un moment suffisamment perturbé s’agite en tirant tous azimuts, semant le trouble autour de lui.
Personne ne connaît, ni le nom, ni le visage du nouvel entraineur, pourtant lui aussi est déjà fragilisé.
Entre accusations de terrorisme envers ses opposants, agressions verbales, menaces et autres attitudes peu conformes au royaume du Lion, le président véhicule une image déplorable de lui-même et du club qu’il dirige. Les supporters et les dirigeants en place, déjà fragilisés par les résultats et le classement peu conformes de l’équipe de football, observent et subissent les frasques d’un président qui au lieu de calmer le jeu dans un moment suffisamment perturbé s’agite en tirant tous azimuts, semant le trouble autour de lui.
Personne ne connaît, ni le nom, ni le visage du nouvel entraineur, pourtant lui aussi est déjà fragilisé.
En affirmant que bientôt 100% des Sportinguistas allaient regretter Paulo Bento, J.E. Bettencourt à fini par rendre la tâche compliquée au futur entraineur.
Une stratégie de communication incompréhensible pour une équipe qui occupe la 8e place au classement, produit un jeu à faire pleurer et qui de surcroit doit recevoir lors de la prochaine journée (28 novembre) le rival majeur pour le derby des derbys. Dans la jungle du football la place du Lion ne sera pas la plus facile à tenir par les temps qui s’avoisinent.
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