Sir Bobby Robson est mort, une légende du football nous quitte
Entraîneur du Sporting entre 1992 et 1994, l'ancien sélectionneur et joueur de l'équipe d'Angleterre, Bobby Robson, s'est éteint aujourd’hui, vendredi 31 juillet à l'âge de 76 ans, victime d'un cancer. "C'est avec une grande tristesse que nous avons appris que Sir Bobby a perdu son long et courageux combat contre le cancer", a annoncé sa famille dans un communiqué. "Il s'est éteint paisiblement ce matin, à son domicile de County Durham, en compagnie de sa femme et de ses proches", précise la famille du défunt, qui ajoute qu'il sera inhumé lors d'une cérémonie privée.Ancien joueur de Fulham et de West Bromwich Albion durant les années 50 et 60, Bobby Robson avait porté 20 fois le maillot de l'équipe d'Angleterre en sélection, avant de l'entraîner entre 1982 et 1990, et mener ses hommes en demi-finale de la Coupe du monde 1990. Robert Robson a également entraîné au cours de sa carrière le PSV Eindhoven, le Sporting Clube de Portugal, le FC Porto, le FC Barcelone, et son club d'enfance, Newcastle. Entre 2006 et 2007, il a occupé le poste de conseiller technique auprès de la sélection irlandaise.
4 commentaires:
Jette un œil là dessus......
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Si c'est de Bobby Robson de qu'il s'agit, ce n'est que son opinion, elle est respectable. L'inverse existe aussi ! Il s'est fait lamentablement virer suite à une élimination en UEFA contre le Casino Salzburg Football - par la suite finaliste perdant contre l'Inter de Milan - alors que le Sporting était en tête du Championnat. Si effectivement le fantasque Président de l'époque, Sousa Cintra, avait connaissance de ce fait, il à très bien fait. Le fait d'être supporter de Benfica ne définit pas la qualité d'un individu, tout comme le fait que le Sporting soit fondé par des aristocrates et Benfica fondé par des gens communs. Une chose, cependant est sure et certaine et qui se dégage du texte en lien, les supporters du Sporting ont une façon différente d'exister, loin du populiste facile et de l'arrogance ambiante qui caractérise le auto proclamé "Glorieux". C'est vrai aussi qu'au Portugal on disait à l'époque de Salazar "Pour être un bon père de famille il faut être de Benfica". Lamentable et tout à la fois révélateur de l'état d'esprit qui caractérise les deux clubs.
Ne vois aucune arrogance de ma part lorsque je t'ai envoyé ce texte d'autant plus que je lis régulièrement tes post's.
Qu'entends tu par des "gens communs?" Le fait d'être sportinguista fait de toi un aristocrate? Le fait le plus lamentable c'est ta réaction épidermique révélatrice de l'état d'esprit du portugais en général.
Glorieux oui bien sur, un roi déchu reste toujours roi.
Salutations Benfiquistas
Bien sur que tu n’as pas été arrogant, Aurélio. Mais l’arrogance fait partie du comportement général des supporters de Benfica, c’est connu. Imbus de leur prétendue gloire ils se prennent pour des êtres supérieurs, d’ailleurs tu t’es trahi. «Glorieux oui bien sur, un roi déchu reste toujours roi», donc ! Rassure toi je ne suis pas noble, je suis fière d’appartenir au «peuple» Portugais et au «noble» Sporting.
Ah, j’oubliais, Sir Bobby Robson, «viré» du Sporting - c’est l’unique fois de sa longue carrière - n’a pas été vers Benfica, son soit disant club Portugais préféré, il est allé entraîner le FC Porto emmenant avec lui son traducteur, un certain José Mourinho. La suite tout le monde la connaît.
Saudações Leoninas
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