Campagne électorale à la Présidence du Sporting

José Eduardo Bettencourt : il déclare vouloir gagner 400 000 euros/an comme président salarié. C’est la moitié de son salaire chez la Banque Santander et 120 000 de plus de ce que veut son concurrent. PP Cristóvão l’avait annoncé avant, alors que JE Bettencourt c’était remis à la commission de la SAD (Société Anonyme Sportive). Son concurrent l’ayant pris au piège il a été obligé de se prononcer publiquement sur ses exigences. Après avoir déclaré à la presse qu’il ne croit pas a la venue de Sven Goran Eriksson, "…les entraineurs de prestige ne signent pas de préaccords avec des candidats…" il précise aussi que sa candidature ne repose pas sur des effets d’annonce au même moment qu’il promet le retour des idoles Sportinguistas à la maison, entre autres raisons celle de consolider la formation dans toutes les disciplines. Dias da Cunha réitère ses premières déclarations "…j’ai des personnes que j’estime dans la liste opposée, mais je maintiens ce que j’ai déjà affirmé, JE Bettencourt est le candidat idéal pour le Sporting…".

Paulo Pereira Cristóvão : Paulo Bento s’est prononcé publiquement en faveur de JE Bettencourt. PP Cristóvão déclare "...aucun fonctionnaire du Sporting n’a à se prononcer sur les élections, se sont des choses qui les dépassent...", et il ajoute, "...ceux qui le font le font de façon erronée...". Le candidat à l’intention de créer un poste de vice-président pour clubs filiales et sócios ainsi qu’une liaison informatique vers tous les Núcleos au niveau National, dont un des objectifs est de permettre aux sócios qui habitent hors de Lisbonne de voter via web.
PP Cristóvão confirme avoir eut un entretien personnel avec Sven Goran Eriksson qui se trouve depuis vendredi dans sa résidence de Cascais (banlieue de Lisbonne). A 3 jours de l’échéance électorale il lance une attaque féroce contre son adversaire "...le plus grand truc de JE Bettencourt c’est de se faire passer pour ce qu’il n’est pas, défende ce qu’il ne croit pas et faire semblant d’être amoureux de choses qu’il déteste..."