L’anticyclone des Açores, souffle sur l’arbitrage français

Une chanson déjà entendue, un air de déjà vu. Pendant et après la 5e journée de Ligue 1 française disputée le dimanche 14 septembre je me croirais au Portugal tellement certaines décisions d’arbitrage ressemblaient au triste contexte de la Liga et de l’arbitrage portugais.
En France les polémiques reprennent comme l'an dernier. Sujet à l’ordre du jour dans toutes les émissions vouées au sport, tous les media ont fait écho de ses décisions et même l’Assemblée Nationale à été saisie à ce propos par Muriel Marland-Militello, députée UMP des Alpes-Maritimes et adjointe aux affaires culturelles de la ville de Nice. Mme Marland-Militello a interpellé, lundi 15 septembre, Bernard Laporte au sujet de l'arbitrage -contesté- de Lyon-Nice (3-2). Sa question écrite porte «sur la qualité de l'arbitrage français, notamment dans les matches de football».
«Un véritable cafouillage arbitral s'est produit, selon le député (...). Ces erreurs grossières ont causé une défaite injuste de l'OGC Nice, qui menait par 2-0. Cet incident est dommageable non seulement au club de football de Nice mais plus largement au sport et aux valeurs qu'il porte.»
Les problèmes d'arbitrage étant récurrents, Mme Marland-Militello souhaite savoir «ce que le gouvernement compte faire pour que de telles injustices ne soient plus données en spectacle dans le sport». Elle demande également «quand les arbitres pourront bénéficier de l'assistance vidéo dans tous les sports».
Faux penalties, hors-jeu douteux et mains involontaires, trois matches au moins ont été pollués par des décisions contestables.
Ni accusateur ni défenseur des arbitres, je suis convaincu qu’il y a des erreurs qui deviennent douteuses quand elles favorisent toujours les mêmes équipes, d’un autre côté les simulateurs et autres pourrisseurs de matchs devraient être sanctionnés quant ils ont influence dans le résultat d’une rencontre. Les moyens existent il faut les mettre en œuvre.
Tout ressemblance avec des affaires existantes ou ayant existé dans un autre pays serait volontaire, parole de portugais, qui prie tous les dieux de toutes les religions de ce pays laïque pour que la Ligue française ne devienne comme la Liga portugaise.